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Dans son édition du 26 octobre 2025, le quotidien national Le Monde consacre un long article à la transition écologique du secteur funéraire.
Un signe fort : le changement de regard sur la mort s’accélère, et de plus en plus d’acteurs (associations, collectivités, citoyens) s’engagent pour imaginer des lieux de mémoire plus proches de la nature.

Des pratiques funéraires en pleine mutation

Crémation raisonnée, urnes biodégradables, inhumation naturelle, forêts cinéraires ou encore humusation, de nouvelles pratiques émergent et traduisent un même désir collectif : réconcilier la mort avec le vivant.
L’article souligne une transformation profonde : on sort peu à peu du modèle des cimetières traditionnels minéraux pour redonner toute sa place au cycle naturel et à la biodiversité.

Au-delà des Racines, pionnier de cette transition

En France, l’association Au-delà des Racines (ADR) figure parmi les initiatives pionnières de cette évolution.
Créée en 2017 par Denise Heilbronn, botaniste et paysagiste, ADR développe le concept de Forêt Sanctuaire®, une approche fondée sur la nature qui permet de :

  • créer des espaces de sépulture écologiques pour les cendres,

  • préserver la biodiversité forestière,

  • et renforcer le lien entre mémoire, territoire et vivant.

“Nous ne faisons pas que planter des arbres : nous faisons renaître un lien entre les vivants, les disparus et la terre.”Denise Heilbronn

Une reconnaissance du changement à l’œuvre

La publication de cet article dans Le Monde témoigne d’un mouvement désormais visible : la transition écologique du funéraire s’impose peu à peu comme une nécessité, portée par la société civile et les territoires.
Une reconnaissance nationale qui conforte la mission d’Au-delà des Racines : repenser la fin de vie dans le respect du vivant, et offrir aux familles des lieux de mémoire naturels et durables.

📖 Découvrez l’article complet ici : Le Monde 26 octobre – Du vert pour l’éternité – P. Kremer